L’artiste Amélie Brisson-Darveau s’intéresse à la texture de l’ombre dans les premiers films d’horreur dans lesquels les réalisateurs ont utilisé les jeux explicites d’ombres et de lumière pour démontrer une « monstruosité » esthétisée se référant directement aux préoccupations politiques et économiques de l’époque. Cette installation aborde la création d’une atmosphère onirique et d’une approche suggestive, entre l’épouvantable et l’irrésistible.
Artiste : Amélie Brisson-Darveau
L’artiste remercie le Conseil des arts du Canada de son appui financier.
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