Dans cette performance, le sculpturale et le corps humain ne forment qu’un. Nous y observons la danse souple des mains caressant et modulant les facettes d’un prisme. À partir de « l’intérieur », la sensualité des gestes évoque les tentatives de façonnement des arrêtes d’une structure impersonnelle vers une convergence subjective. Cette œuvre dynamique et éphémère, ouvre sur le thème de la valorisation de l’intime au sein de l’espace public. Une intimité indissociable du collectif.
crédit: ©Kim Lafontaine, 2020 (détail).